Le signalement
de décès des hommes de nationalités différentes dans les hôpitaux auxerrois
révèle la dimension mondiale de ce conflit. Aux côtés des indigènes de l'Empire français figurent des Américains, des Russes et Polonais, des Italiens, des Allemands et des Autrichiens.
- L’
Empire français.
Empire Français Mobilisés Décès Travailleurs
[1] |
Afrique du nord 250.000
Algériens 75.000
Marocains 35.000
Tunisiens 20.000
Sénégalais 165.000
Malgaches 45.000
Indochinois 45.000 50.000
Antillais-Guyannais 25.000
Réunionnais 15.000 5.500
Somalis 2.000
Océaniens 1.000
Indiens 500
Total (indigènes) 600.000 78.000
31 janvier 1918 indochinois Nguyen-Vân-Chi (Thai Bink, infirmier militaire colonial à l’Hôpital n°34) âgé de 21 ans, domicilié à Uham-Lang canton de Hieu Ki , Huyen de Hûng-Uhân, province de Thai-Binh, entré le 29, décédé le 31 mort à 5h du matin à l’Hôpital mixte Saint-Germain. [2]
5 mars 1918 indochinois Nguyên-Vân-Viên [3], ( 5e section infanterie militaire, faisant partie de l’Hôpital n°34 et travaillant à l’hôpital mixte, âgé de 21 ans, domicilié à Nghia-Dong canton de My-Xâ, province de Haiduong, infirmier à l’hôpital mixte, décédé à 9h30, inhumé à Auxerre le 7 mars 1918, Sans Mention Morts pour la France (SM)
Algériens 75.000
Marocains 35.000
Tunisiens 20.000
Sénégalais 165.000
Malgaches 45.000
Indochinois 45.000 50.000
Antillais-Guyannais 25.000
Réunionnais 15.000 5.500
Somalis 2.000
Océaniens 1.000
Indiens 500
Total (indigènes) 600.000 78.000
31 janvier 1918 indochinois Nguyen-Vân-Chi (Thai Bink, infirmier militaire colonial à l’Hôpital n°34) âgé de 21 ans, domicilié à Uham-Lang canton de Hieu Ki , Huyen de Hûng-Uhân, province de Thai-Binh, entré le 29, décédé le 31 mort à 5h du matin à l’Hôpital mixte Saint-Germain. [2]
5 mars 1918 indochinois Nguyên-Vân-Viên [3], ( 5e section infanterie militaire, faisant partie de l’Hôpital n°34 et travaillant à l’hôpital mixte, âgé de 21 ans, domicilié à Nghia-Dong canton de My-Xâ, province de Haiduong, infirmier à l’hôpital mixte, décédé à 9h30, inhumé à Auxerre le 7 mars 1918, Sans Mention Morts pour la France (SM)
22
mai 1918 algérien Dzib Larbi
ben Tayeb (Constantine, travailleur colonial à la Station magasin d’Auxerre),
âgé de25 ans mort à 7h30 du matin à l’hôpital comp. N°84. SM
29
mai 1918 algérien Mohamed
Ould Ahmed El Kebala ( travailleur colonial à la Station magasin d’Auxerre) âgé
de 38 ans, mort à 9h du matin à l’hôpital complémentaire n°84 à Auxerre. SM
30
août 1918 algérien kadri
Bouziane ben Ahmed (9e R.I) âgé de 21 ans, mort à 7h30 du soir à
l’hôpital complémentaire n°84 à Auxerre.
3
octobre 1918 algérien Saf Salah
ben Ammar (30e R. d’artillerie de campagne, détaché à
Noyers-sur-Serein) âgé de 23 ans, mort à 2h du matin à l’hôpital complémentaire
n°84, célibataire. SM
20
octobre 1918 algérien Ouli Maazoug
Mohamed (travailleur colonial à l’atelier de réparations d’avions numéros trois) âgé de 22ans, mort à 2h30 du
soir à l’hôpital complémentaire n°84 à Auxerre. SM
pied noir
Marcel Sivet (4e R.I. 30e Cie) âgé de 18 ans, mort à 3h
30 du matin à l’hôpital complémentaire n°84 à Auxerre. SM
8
décembre 1918 sénégalais
Houngnugnou, Hôpital complémentaire N°34.
9
décembre 1918 sénégalais Saugaré
Koriba, Hôpital complémentaire N°34.
Sénégalais
Dembélé Tapa, Hôpital complémentaire N°34.
13
décembre 1918 ivoirien Taraoré Fot[4]i,
Hôpital complémentaire N°84.
13
décembre 1918 ivoirien Bibouzié Toue,
Hôpital complémentaire N°84.
16
décembre 1918 soudanais Doumbia
Naudier, Hôpital complémentaire N°34.
6
janvier 1919 annamite Tran Van
Tât ( travailleur colonial détaché à l’Usine air liquide à Montereau) du 100e
groupe 343, âgé de 20 ans, originaire du village de An Tân (Vuen-Lang, province
de Haiduong, Tonkin), arrivé le 1er janvier et décédé le 6 à 9h45
d’une péritonite tuberculeuse à l’hôpital mixte Saint-Germain.
18
janvier 1919 algérien Ben Baztout
Mohamed Ben Saïd, Hôpital complémentaire n°84 à Auxerre[5]
21
janvier 1919 algérien Antoine
Saez[6]
(30e R.I d’artillerie campagne, 54e b.), né à
mercie-Lacombe, domicilié à
Sidi-ben-Abbès, Oran (Algérie), âgé de 19 ans, entré le 16 novembre, décédé le
21 janvier à 23 heures d’un kyst hydatique
poumon à l’hôpital Saint-Germain.
20
mars 1919 algérien ELGALI[7]
Mohamed, Hôpital mixte Saint-Germain.
14
avril 1919 algérien Ahmed
Rabahi[8]
(Ben Mohamed), (3e groupe d’artillerie, campagne détachement Chemilly), domicilié à Keuchela
(Constantine), âgé de 22 ans, entré le 7 février et décédé le 14 avril à 12
heures de tuberculose intestinale. Hôpital mixte Saint-Germain.
28
mai 1919 annamite Dang Ba
Trinh (5e section infirmiers,
détaché à l’hôpital mixte d’Auxerre), domicilié à Ngoc-My (canton de Bach-Ha,
Hüyon de Luong-Son), âgé de 24 ans, entré le 4 avril décédé le 28 mai à 4h30
d’un abcès du foie.
4
juin 1919 guadeloupéen
Abraham Coyo[9]
mort à l’hôpital complémentaire n°84.
13
août 1919 algérien Amara
Chaloi[10]
(3e Gr. Artillerie d’Afrique, 69e b.) domicilié Raselalhdidi (Bône, dép. Constantine), âgé de
22 ans, entré le 27 juin décédé le 13 août de tuberculose pulmonaire, MORT pour
la France, hôpital mixte Saint-Germain.
24
septembre 1919 guadeloupéen Edme
Calixte[11]
(7e R.A.P., 41e b.), domicilié à la Baie Mahoult, canton
de Lamentin, Guadeloupe, célibataire âgé de 21ans, entré le 27 août à l’hôpital
mixte Saint-Germain, décédé le 24 septembre à 11h d’infection gastro-intestinale persistante.
MORT pour la France.
9
octobre 1919 algérien Ali
Timessar[12]
(3e Gr. Art. d’Afrique, 69e COAA), domicilié à Kenchela
Constantine, âgé de 22 ans, entré le 3 février décédé le 9 octobre à 0h30 de
tuberculose généralisée, Mort pour la France, Hôpital mixte Saint-Germain.
20
novembre 1919 guadeloupéen Antoine
Marine Collonneaux[13]
( 7e R.A.P.), domicilié à Capesterre ( Grand-Bourg Marie-Galant en
Guadeloupe), âgé de 21 ans, entré le 22 juillet 19 décédé le 20 novembre, de
tuberculose pulmonaire, Mort pour la France hôpital mixte Saint-Germain.
23
novembre 1919 guadeloupéen Barthélémy
Apôtre Lapuly [14](7e
R.A.P., 41 b.) âgé de 21 ans, domicilié à Saint Louis, Grand-bourg
Marie-Galant, Guadeloupe, employé de commerce[15],
célibataire, entré le 18 septembre décédé
le 23 novembre à 4h30 du matin de péritonite aigue, Mort pour la France Hôpital
mixte Saint-Germain.
7
décembre 1919 réunionnais Alfred
Louis Payet[16]
(10e R.A.P., 63e Cie), domicilié à Tampon, canton de
Saint-Pierre à la Réunion, cultivateur, célibataire, entré le 1er nov à
l’hôpital mixte Saint-Germain, décédé le 7 déc
d’une bronchite congestive (crachements sanguinolents).
12
décembre 1919 malgache Louis
Ravelonahina[17]
(travailleurs coloniaux, groupement malgache de Brienon), domicilié à Nord
Anjorna, Tanannarive, Madagascar, âgé de 22 ans, journalier, célibataire, entré
le 8 décembre, mort le 12 décembre à midi de tuberculose , MORT pour la France,
hôpital mixte Saint-Germain.
20
décembre 1919 guadeloupéen Chéry
Sébastien (7e R.A.P. 41e b), domicilié à Saint-Louis
Grand-Bourg Marie-Galant, Guadeloupe, entré le &4 août et décédé le 20
décembre à 23h30 de tuberculose pulmonaire, MORT pour la France. Hôpital mixte
Saint-Germain.
25
janvier 1920 algérien Mohamed ben
Soltane[18]
(3e gr d’artillerie d’Afrique, 69° COAA), domicilié au douar oulèd
sidi abid (Cne de Tébesse, Constantine), âgé de 22 ans, boucher,
célibataire, entré le 15 octobre à
l’hôpital mixte de Saint-Germain, décédé le 25 janvier suivant à 6h du matin de
tuberculose pulmonaire, Mort pour la France.
19
février 1920 malgache Radzouar
(travailleur colonial, Groupement malgache de Brienon), domicilié à Tangnarive
(canton du Dilh, Madagascar), âgé de 26 ans, entré le 19 oct à l’hôpital
Saint-Germain, décédé le 19 février à 7h du matin de tuberculose pulmonaire et
péritonéale, Mort pour la France.
2.
Les Etats-Unis d’Amérique.
Les E.-U.-A. entrent en guerre le 6 avril
1917. Le premier débarquement de « Sammies », surnom des soldats
américains a lieu le 26 juin 1917. 150 000 en janvier 18, ils seront 2 millions
le 11 novembre.
11
septembre 1918 américain F. Conley
Boyd (808e R.I., pionnier, corps expéditionnaire américain allant de
Brest à un camp d’entraînement descendu
à Lyon et envoyé à Auxerre[19]
), mort à 1h30 du matin. D’une broncho-pneumonie grippale.
17
septembre 1918 américain Archi
Galloway (Virginie, 808e
R.I.)âgé de 22 ans mort à l’hôpital complémentaire n°84 à Auxerre, célibataire.
SM
18
septembre 1918 américain Henry Logan (
Virginie, 808e R.I.) âgé de 31 ans, mort à l’hôpital complémentaire
n°84 à Auxerre. SM
américain John Brown[20]
(808e R.I. pionnier) âgé de 28 ans,
mort à 3h du matin à l’hôpital mixte Saint-Germain, d’une
broncho-pneumonie grippale.
F. Conley
Boyd[21]
décédé à 1h 30 du matin
19
septembre 1918 américain Waltère
Fountain[22]
(808e R.I.) âgé de 28 ans, mort à 4h du soir à l’hôpital mixte
Saint-Germain, d’une broncho-pneumonie grippale.
25
septembre 1918 américain Otto Popp
(Rochester-N.Y., 808e R.I.) âgé de 30ans, mort à 11h du soir à
l’hôpital complémentaire n°84 à Auxerre. SM
27
septembre 1918 américain Harry Collier
(112e R.I, C.O.M.), mort à 9h30 du soir à l’hôpital mixte Saint-Germain, d’une
fracture du crâne[23].
29
septembre 1918 américain B. Evans
Nelson (112e R.I. C.O.M.) mort à 6h du soir à l’hôpital mixte
Saint-Germain ;
30
septembre 1918 Le
Bourguignon relate une méprise concernant trois américains confondus avec
des prisonniers allemands.
« La méprise a fait trois victimes. Etant donné les difficultés suscitées par la
censure nous n’avons pu relater que brièvement et presque énigmatiquement le
drame qui s’est déroulé jeudi à Coulangeron et dont une fatale méprise semble
avoir été la cause. La population de cette commune, on l’a compris, a vu trois
prisonniers allemands évadés dans trois Américains et leur a fait un mauvais
parti.
L’un des
Américains, comme nous l’avons dit , est mort à l’hôpital mixte d’Auxerre des
suites de ses blessures : il avait une fracture du crane. Un autre a été
tué d’un coup de révolver au ventre et son cadavre a été découvert à 500 mètres
environ du village. S’est-il donné volontairement la mort ou a-t-il été la
victime d’un meurtre ? C’est ce que l’enquête cherche à établir. Le
troisième, comme nous l’avons dit, est en fuite.
Nous avons
annoncé également qu’un habitant de Coulangeron, M. Edmond Martin, avait été
blessé, dans la bagarre, d’un coup de revolver tiré par l’iun des Américains.
Transporté à l’hôpital d’Auxerre, M. Martin vient de succomber à une
perforation de l’estomac. Âgé de 34 ans, il était réformé temporaire
n°2. »
3
octobre 1918 américain Willie
Broxton [24]
(808e R.I. pionniers d’infanterie américaine), domicilié à Owenton P.O. canton de King d’Ouery (
C.V.A. – USA), ses parents originaires de Owenton (P.O. King d’oueen CLVA, USA)
né le 27 janvier 1894. âgé de 24 ans,
arrivé le 17 septembre mort le 3
octobre à 6h du matin d’une
broncho-pneumonie grippale. à l’hôpital
mixte Saint-Germain.
6
octobre 1918 américain Georges
Vosdward ( 304e R. de génie),
mort à l’hôpital complémentaire n°84 à Auxerre. SM
américain George Roberts
(PA, 312e M.G..B.), domicilié
à Huct-Hassi sonbourg, P.O. (USA) âgé de
27 ans, mort à 11h du soir d’une broncho-pneumonie infectieuse à l’hôpital
mixte Saint-Germain.
10
octobre 1918 américain Charles F.
Greene (N.-Y., sergent 158e R.I, 4e Cie), âgé de 26 ans
mort à midi à l’hôpital mixte Saint-Germain, d’une broncho-pneumonie grippale,
célibataire.[25]
11
octobre 1918 américain Derry
Armstrong (808e R.I. pionniers), domicilié à N.F.O.I., Base 34
Beaugard, U.C., âgé de 25 ans, marié[26]
à x… domicilié N.F.D.1. Box 34 Neangard, N.C.), mort à 10h du soir d’une
broncho-pneumonie grippale à l’hôpital mixte Saint-Germain.
28
octobre 1918 américain Mani Frank,
( 11à R.I., 3e Cie), né en Italie, âgé de 31 ans, mort à 4h du matin
à l’Hôpital complémentaire n° 34 à Auxerre.
SM.
14 novembre 1918 américain Paul Young[27]
3.
L’Empire russe et Pologne.
• les soldats russes en
Champagne (è 14&18 n° 14)
Deux
brigades russes sont présentes dès 1916. En accord avec Paul Doumer, le tsar
Nicolas II promet l’envoi de 40 000
hommes, sur le front ouest à condition qu’elles soient équipées par la France.
En réalité c’est 160 000 hommes soit quatre brigades qui feront le déplacement[28].
1ère
brigade : débarque à Marseille en avril 1916. 9 000 hommes de la région de Moscou
traversent en train la Sibérie pour embarquer à Dairen en Mandchourie près de
Port Arthur et débarquer à Marseille.
2ème
brigade : débarque à Salonique en mai 1916, partie d’Arkhangelsk, ne fait
qu’escale à Brest puis à Marseille.
3ème
brigade : une moitié débarque à Brest et l’autre à La Rochelle. Comme la 2ème
brigade, ils viennent d’Arkhangelsk
4ème
brigade : à destination de la Macédoine.
La
1ère et la 3ème brigades
participent à l’offensive du Chemin des Dames en avril 17. L’échec de
l’offensive de Nivelle fut couronné par des mutineries qui mettent mal à l’aise
le gouvernement de Kérensky à Pétrograd. La révolution d’octobre aggrave la
situation. Les deux brigades sont envoyées dans le camp militaire de la
Courtine, au centre de la France pour éviter toute contamination
sur le front. La 1ère brigade destitue ses officiers ; la 3e
brigade loyaliste s’éloigne au camp de Felletin.
Devant
l’échec des envoyés spéciaux du gouvernement russe au camp de la Courtine, et
l’inefficacité de l’intervention des officiers loyalistes et des militaires français, le seul recours
jugé bon est celui de la force. Une intervention armée appuyée par les
Felletinois et les soldats de la 2ème brigade d’Orient cantonnés à
Orange met fin au soviet des soldats russes. Les 8 000 mutins ont le choix entre la Légion
étrangère, l’Afrique du Nord et le travail volontaire en France pour 3 francs par jour. La plupart
opte pour cette dernière solution. L’Yonne reçoit 500 soldats russes, 437
effectivement, destinés aux entreprises de coupes de bois. La répartition se
fait de la façon suivante : 22 à Bessy-sur-Cure, 30 à Cézy, 50 à Châtel-Censoir,
45 à Coulanges-sur-Yonne, 25 à Crain, 25 à Joigny, 25 à Maligny, 30 à
Massangis, 45 à Mailly, 30 à Nitry, 60 pour Saint-Fargeau et enfin 50 « pour être employés aux usines de fours à
chaux »[29]
à Vermanton.[30]
Le sort de 17 d’entre eux est funeste. Un grand
nombre succombent très probablement de la « grippe espagnole » qui
sévit de septembre à décembre 1918 à
Auxerre même si les cahiers de l’Etat-Civil ne mentionnent pas la cause exacte
de leur décès.
28
juin 1918 russe Féodossi
Wedeychtiouk (Vosdovoutsoise, canton de Secouransky, Bessarabie, travailleur
russe, soldat au 3e R. spécial, 4e Cie), âgé de 23 ans,
mort à minuit à l’hôpital comp. N°84, célibataire. SM Mais Charles Rivet signale que sa tombe
porte l’inscription « Mort pour la Patrie ». Il est probablement mort
de blessures de guerre. Marie Margnoux infirmière et Armand-Louis Kiennemann,
bonnetier, tous les deux Auxerrois, ont fait la déclaration de son décès.
6
juillet 1918 russe Rodion
Andrianoff (Semenooskoie, canton de Mojaisk, Moscou, soldat travailleur russe
du 4e R. venant de l’Armée d’Orient), âgé de 22 ans, mort à 11h du
soir à l’hôpital comp. N° 84. SM
Les témoins sont Albert Ragon, 50 ans, retraité, et Raoul Debrand, 34 ans,
peintre en voitures, tous deux Auxerrois.
Charles Rivet pense qu’il est mort
de suite de blessures de guerre.
28
juillet 1918 russe Jacques
Prekhodrin (Ziornov, département d’Orcel, Orloff, soldat travailleur russe) âgé
de 21 ans mort à 4h du soir à l’hôpital comp. N°84, domicilié Avenue
Denfert-Rochereau à Auxerre. SM Les témoins sont les mêmes que ceux
d’Andrianoff
8
septembre 1918 polonais Georges
Przesmycki (né au gouvernement de Wilno en Pologne, brigadier au 1er
groupe d’artillerie polonaise), âgé de 26 ans mort à 3h30 du soir à l’Hôpital
comp. N°34, avenue Pasteur à Auxerre. SM[31]
Ses témoins sont
Georges Marcilly, 37 ans, employé d’octroi et François Egloff ecclésiaste, 46
ans tous deux Auxerrois. Charles Rivet, pense qu’il est mort suite à une
blessure de guerre du fait qu’il soit à l’hôpital complémentaire N°34 et non à
l’hôpital n°84 avenue Denfert-Rochereau, et que ses témoins
9
octobre 1918 russe Nicolas
Sakaroff (Ekaterinowslvo, Russie, travailleur russe Cie 5/2) âgé de 26 ans,
mort à 1h du matin, résidant à Auxerre. SM
Mêmes témoins que
pour Andrianoff.
russe
Ivan Lankiniock ( travailleur russe Cie 5/2)mort à 8h du matin à l’hôpital
comp. n°84. SM Mêmes témoins que pour Andrianoff.
russe
Mitrophane Schwetz (travailleur russe Cie 5/2) âgé de 35 ans, mort à 2h du soir
à l’hôpital comp. N°84. SM Mêmes témoins que pour Andrianoff.
10
octobre 1918 russe Ivan Iakowloff
(travailleur russe Cie 5/2), mort à 8h du matin à l’hôpital comp. N°84. SM Mêmes témoins que pour Andrianoff.
16
octobre 1918 russe Tropine
Jaroukine (gouvernement de Kazan, russietravailleur russe Cie 5/2), âgé de 23
ans mort à 2h du matin à l’hôpital comp. N° 84. SM Mêmes
témoins que pour Andrianoff.
russe
Dimitry Kazityky ( travailleur russe Cie 5/2) âgé de 2 » ans, mort à 6h 45
du soir. SM Mêmes témoins que pour Andrianoff.
17
octobre 1918 russe Georges
Romanoff (Sapdiakoff, Russie, travailleur russe Cie 5/2 à Auxerre), âgé de 24
ans, mort à 3h du soir à l’hôpital n°84. SM
18
octobre 1918 russe, Nicolas
Kolikine, âgé de 25ans, (2e R.I.), célibataire né à Astrakan,
Russie, mort à 2h du matin au 4 avenue
de Paris[32],
Auxerre. SM Témoins Edmond Monin, 48 ans, et Pierre
Gervais, 49 ans tous deux employés à Auxerre.
19 octobre 1918 russe, Pierre Dobrodieff (travailleur russe), âgé de 21
ans, mort à 5h du soir. SM Témoins MM. Sautereau et Ragon.
20
octobre 1918 russe Kouzma
Stakhorsky (travailleur russe Cie 5/2) mort à 6h45 du soir hôpital comp. N°84. SM Mêmes témoins que pour Andrianoff.
9
février 1919 russe Jean
Mikaeloff, Hôpital complémentaire N°84.
21
février 1919 russe alexandre
Logovï, Hôpital complémentaire N°84.
14
février 1920 Andry Vyleipeck (22e[33]
ou 2e[34]
division polonaise, 24e Cie), domicilié à Sasiadka (Pologne),
fermier célibataire, âgé de 30 ans,
entré le 27 sept 1919 à l’hôpital mixte Saint-Germain, décédé le 14 février à
12h de tuberculose pulmonaire, Mort pour
la France.
4.
L’Italie.
Un
corps de Volontaires, dits « Garibaldiens » a combattu en Argonne en
1914. 41 000 Italiens participent également à la 2de bataille de la Marne, le
10 avril 1918. Il y a également des milliers de travailleurs qui viennent en France.
12 novembre 1918 Giuseppe Camentale, Hôpital complémentaire N°84.
5 décembre 1918 Vincezo Viale, Hôpital complémentaire N°84.
8 décembre 1918 Virgilio Rancati, Hôpital complémentaire N°84.
9 décembre 1918 Giuseppe Barbato, Hôpital complémentaire N°84.
Gusho
Lapi, Hôpital complémentaire N°84.
10 décembre 1918 Salvator Molise, Hôpital complémentaire N°84.
11 décembre 1918 Bastista Thiadi, Hôpital complémentaire N°84.
12 décembre 1918 Giuseppe Storlino, Hôpital complémentaire N°84.
23 décembre 1918 Auguste Drei, Hôpital complémentaire N°84.
Guilio
Fontana, Hôpital complémentaire N°84.
2 janvier 1919 Giacomo Scaniglia, Hôpital complémentaire N°84.
21 mars 1919 Zaovala
Tsiranoa Hôpital complémentaire N°84.
29 mars
1919 Pietro Guerra[36]
( 64e R.I. de marche) de
Casale Sulsile, prov. De Trévise, entré le 28 novembre et décédé le 29 mars à 4
heures de tuberculose pulmonaire à l’hôpital mixte Saint-Germain.
5.
Allemagne et Autriche : les
prisonniers de guerre.
• les prisonniers de guerre (è
14&18 n° 2 3)
La stratégie des offensives à objectifs
limités de Pétain porte ses fruits puisque dans le second semestre 17, 11 000
Allemands sont faits prisonniers sur Verdun (août) et La Malmaison (octobre).
31
octobre 1916 karl Münch[37]
(168e R.I. allemande, 3e b. 10e Cie),
domicilié à Bad Wildünger (Waldeck), âgé
de 19 ans, entré à l’hôpital mixte Saint-Germain le 27 octobre décédé le 31
octobre à 21h 30.
18
juin 1916 allemand Emil
Reiss (Brandenbourg, 14e R.I.), âgé de 21 ans, mort à 9h du matin, à
l’Hôpital mixte Saint-Germain à Auxerre. SM
28 août 1916 Les
Prisonniers allemands aux travaux agricoles
“Le
nombre des prisonniers allemands actuellement employés dans l’Yonne aux travaux
agricoles est de 300. Un de nos confrère a visité Fontaine-Géry, grand domaine
d’une superficie de 275 hectares, situé sur le territoire de l’arrondissement
de TOnnerre, non loin du village de Viviers, qui emploie vingt prisonniers.
M.
Mercier, le propriétaire exploitant, secondé en temps normal par M. Faillot,
son gendre, ujourd’hui mobilisé, écrit notre confrère, est un homme pratique et
expérimenté. Comme nous l’interrogeons pour savoir comment il peut faire son
travail, en ce moment où la main d’oeuvre fait défaut partout, il nous répond:
- On m’a donné, pour les travux agricoles, des prisonniers allemands. Pas
beaucoup ! J’en suis assez satisfait, mais il faut qu’ils soient rentrés à leur
cantonnement à six heures. Leur journée se trouve pour ainsi dire terminée à
cinq heures et demie. Il faudrait au moins qu’ils restent dans les champs
jusqu’à sept heures comme tout le monde des campagnes. Je l’ai réclamé à M. le
préfet. Impossible ! Le règlement s’y oppose. À cause de cela, les blés, qui
habituellement sont rentrés au 15 août, ne le seront gu§re avant le 1er
septembre, et encore !”[38]
21 février
1917 Les prisonniers de guerre pour le travail agricole
« En
réponse au vœu émis par le Groupe amical des élus des deux cantons de Sens, M.
GOurlet, conseiller d’arrondissement, maire de Courtois et président e ce
groupe, a reçu la lettre suivante :
Paris, le 13 février 1917.
Monsieur le président,
Vous avez bien voulu me transmettre le texte d’un vœu adopté par le groupe
amical que vous présidez, au sujet de l’utilisation de la main d’œuvre
prisonnière pour les travaux agricoles.
J’ai l’honneur de vous faire
savoir que l’état actuel des règlements donne entière satisfaction à ce vœu.
D’une part, en effet, il appartient aux commissions départementales de
la main d’œuvre agricole d’attribuer des équipes de cinq prisonniers de guerre
dans les conditions prévues pour ce mode de fractionnelement. D’autre part, enr
éservant les équipes de prionniers de guerre aux seules collectivités
agricoles, le cahier des charges du 19 novembre 1915 laisse aux communes le
soin de répartir la main d’œuvre prisonnière à elles affectée entre les
cultivateurs et laisse aux maires signataires des marchés la responsabilité du
logement et de la nourriture des équipes.
Je vous prierai d’attirer sur ces deux points l’attention des élus qui
composent votre groupe amical.
Afréez etc ;
Pour le ministre et par son ordre,
Pour le général inspecteur général,
Le général adjoint, Jacquillat.
En conséquence, les cultivateurs
qui désirent des prisonneirs de guerre peuvent en faire la demande aux maires
de leurs communes qui auront à la transmettre à M. le préfet pour être soumise
à la commission départementale de la amin d’œuvre agricole. »[39]
25 avril 1917 Comment on traite en France les
prisonniers allemands
Le Bourguignon 25 avril 1917
« On
nous écrit du canton de Coulanges-sur-Yonne :
Dans notre contrée, l’opinion
publique s’émeut beaucoup d’un bruit qui s’accrédite de plus en plus que les
prisonniers boches travaillant dans la forêt de frétoy peuvent s’pprovisonner
de tout. En effet, des germanophiles leur fourniraient, paraît-il, du beurre à
4 francs la livre, de l’eau-de-vie à 12 francs le litre, du sucre sans carte et
toutes les douceurs qui se font de plus en plus rares en ce temps de guerre.
Ces mêmes germanophiles auraient eu l’audace de demander à un boucher du pays
bien connu de leur vendre des biftecks pour ces boches maudits. Ce dernier
aurait refusé par patriotisme.
Si ces faits sont exacts, pourquoi cette tolérance ? Pourquoi ce
traitement de faveur envers nos implacables ennemis, alors que les nôtres,
prisonniers en Allemagne, sont soumis aux plus durs traitements, privés de tout
et mourant absolument de faim ? une enquête s’impose.
Que les prisonniers ne soient pas maltraités, c’est entendu, mais
qu’ils n’aient pas la faculté de se procurer des douceurs que beaucoup de
Français ne peuvent se payer. Le nécessaire pour nos ennemis prisonniers, et
rien de plus, ou nous serons toujoues les éternels dupés. »
28
août 1917 allemand Max Knaffa
(Berlin, 20 R.I. 2e bat, 6e Cie) âgé de 35 ans, mort à
9h20 du matin à l’hôpital mixte Saint-Germain. SM
31
décembre 1917 allemand Bernhard
Berger (Silésie, 117e R.I. 3e
Cie) âgé de 27 ans, mort à 7h 20 du matin à l’hôpital mixte Saint-Germain. SM
3 juin 1918 Paul
Juhaiz[40]
(hongrois, 37e R.I. autrichienne), âgé de 29 ans, domicilié à Sarho
en Hongrie, entré le 4 avril et décédé le 3 juin à 20 heures de tuberculose
pulmonaire.
18
juin 1918 allemand Emil Reiss
(Brandenbourg, 14e R.I., 1ère Cie), domicilié à Berlin, 3
Opinastrass[41], âgé de 21 ans, célibataire, entré et
décédé ce jour à 9h15 de plaie pénétrante à l’abdomen par balle.
mort à 9h
21
août 1918 allemand Paul
Grämer(Chemmitz, Saxe, 102e R.I., 6e Cie) âgé de 27 ans,
époux de Clara Meier, domicilié à Chemnitz[42],
41 Fichetestrass, entré le 17 et décédé
le 21 août mort à 12h 30 d’une congestion pleuro-pulmonaire à l’hôpital mixte Saint-Germain, époux de
Clara Meier.
25
août 1918 allemand Otto Alberti
(Géra en Saxe, 66e R.I. 6e Cie), âgé de 30 ans,
célibataire, originaire de Glauchan (Saxe), né à Gera (Prusse), entré le 21 août et décédé d’une
broncho-pneumonie grippale le 25 août à
3h 45 du matin à l’hôpital mixte Saint-Germain, célibataire. `
3
juin 1918 autrichien Paul
Juharz, mort à 8h du soir à l’hôpital mixte Saint-Germain. SM
18
juin 1918 allemand Emil
Reiss (Brandenburg, prusse, 14e R.I.) âgé de 21 ans mort à 9h du
matin, à l’hôpital mixte Saint-Germain SM
21
août 1918 allemand Paul
Grâmer(Saxe, 102e R.I.) âgé de 27 ans, mort à 12h 30 à l’hôpital
mixte Saint-Germain, époux de Clara Meier. SM
25
août 1918 allemand Otto
Alberti (Saxe, 66e R.I. ) ,
âgé de 30 ans, mort à 3h 45 du matin 30 à l’hôpital mixte Saint-Germain,
célibataire. SM
30
août 1918 allemand Karl
Büchner[43]
(193e R.I. allemande, 11e Cie), venant du détachement de
P(risonniers de ) G(uerre). de Saint-Florentin,
domicilié à Bielefeld en Prusse, célibataire, venant d’Amérique[44], âgé de 28 ans, entré le 18 juillet et décédé
le 30 à 23h30, d’une broncho-pneumonie grippale.
1
septembre 1918 allemand joseph
Olniegsechläger (Rhin, 39e R.I.), originaire de Crefeld-Lim
(Rhin), âgé de 28 ans, entré le 26
août mort à 9h du soir à l’hôpital mixte Saint-Germain[45],
d’une broncho-pulmonaire grippale. célibataire.
5 septembre 1918 allemand Frédéric Gelbert (Lanenburg, Prusse, 85e
R.I. 10 Cie), âgé de 26 ans, célibataire, entré le 10 août et mort le 5 septembre à 1h du soir d’une
broncho pulmonaire[46]
à l’hôpital mixte Saint-Germain célibataire.
14
septembre 1918 hongrois Grégor Rusz
(12e R.I. autrichienne), domicilié à Surdich en Hongrie, âgé de 40
ans, marié à Iréna orgitsch, entrée le 9 mai et
mort le 14 septembre 5h du soir
d’une tuberculose pulmonaire, époux de
Iréna Orgitsch.
30 octobre 1918 allemand Karl Bückner (Prusse, 193e R.I.) mort à 11h 30 du soir à l’hôpital mixte Saint-Germain, célibataire. SM
16
novembre 1918 Johann Helevig ( 166e
R.I. allemande), domicilié à Forback (Lorraine), entré le 13 novembre et décédé
le 16 à 8h20 de blessures multiples et graves, amputation urgente pour gangrène[47],
à l’hôpital mixte Saint-Germain.
29
novembre 1918 Félix Nobst[48]
(100e R.I. allemande, 12e Cie), domicilié à Freiberg
(Saxe), âgé de 27 ans, entré le 24 novembre, mort le 29 à 16h30 d’une broncho
pneumonie, hôpital mixte Saint-Germain.
6
décembre 1918 Emile Klotzer[49]
( 100e R.I. allemande, 12e Cie), domicilié à Stulzengrün,
Schwarzenberg (Saxe), âgé de 30 ans, entré le 2, décédé le 6 à 17h à l’hôpital
mixte Siant-Germain.
18
décembre 1918 Johann Welte (208e
R.I. allemande), domicilié à Ruchenau, Konstanz (duché de Bade), âgé de 36 ans,
entré le 3 novembre décédé le 18 décembre à 6h30 de congestion pulmonaire
grippale à l’hôpital mixte de Saint-Germain.
8
janvier 1919 Paul Londa[50]
(Fleider Abteilung 270) sous-officier, domicilié à Frieschka (Tïbenvverda en
Saxe), âgé de 25 ans, entré le 13 novembre 18, décédé le 8 janvier à 15h 30 de
blessures multiples septicémie. Hôpital mixte Saint-Germain.
16
février 1919 Otto Rabe (86e
R.I. allemande, 5e Cie), né à Hambourg, domicilié à Höbig Kreis
Remburg, âgé de 28 ans, entré le 15 février 19 décédé le 16 à 3 heures d’un
oedeme pulmonaire. Hôpital mixte Saint-Germain.
[2]
ADY 3 Q 29 registre des décès
[3]
ADY 3 Q 29 registre des décès
[4]
AMA Etat-civil à rechercher plus d’indications
[5]
AMA Etat-civil
[6]
ADY 3 Q 29 registre des décès
[7]
AMA Etat-civil
[8]
ADY 3 Q 29 registre des décès
[9]
AMA Etat civil à reprendre
[10]
ADY 3 Q 29 registre des décès
[11]
ADY 3 Q 20 registre d’admission de militaires à l’Hôpital mixte Saint-Germain
[12]
ADY 3 Q 29 registre des décès
[13]
ADY 3 Q 29 registre des décès
[14]
ADY 3 Q 29 registre des décès
[15]
ADY 3 Q 20 registre d’admission de militaires à l’Hôpital mixte Saint-Germain
[16]
ADY 3 Q 20 registre d’admission de militaires à l’Hôpital mixte Saint-Germain
[17]
ADY 3 Q 29 registre des décès
[18]
ADY 3 Q 29 registre des décès
[19]
ADY 3 Q 29 registre des décès
[20]
ADY 3 Q 29 registre des décès
[21]
ADY 3 Q 19 registre d’admission de militaires à l’Hôpital mixte Saint-Germain
[23]
ADY 3 Q 29 registre des décès
[24]
ADY 3 Q 19 registre d’admission de militaires à l’Hôpital mixte Saint-Germain
[26]
ADY 3 Q 19 registre d’admission de militaires à l’Hôpital mixte Saint-Germain
[27]
AMA Etat civil rechercher le régiment
[33]
ADY 3 Q 29 registre des décès
[34]
ADY 3 Q 20 registre d’admission de militaires à l’Hôpital mixte Saint-Germain
[35]
AMA Etat-civil rechercher pour tous les Italiens s’il y
a d’autres indications
[36]
ADY 3 Q 29 registre des décès
[37]
ADY 3 Q 17 registre d’admission de militaires à l’Hôpital mixte Saint-Germain
[38]
Le Bourguignon 28 août 1916
[40]
ADY 3 Q 29 registre des décès
[41]
ADY 3 Q 19 registre d’admission de militaires à l’Hôpital mixte Saint-Germain
[42]
ADY 3 Q 19 registre d’admission de militaires à l’Hôpital mixte Saint-Germain
[43]
ADY 3 Q 29 registre des décès
[44]
ADY 3 Q 19 registre d’admission de militaires à l’Hôpital mixte Saint-Germain
[45]
ADY 3 Q 29 registre des décès
[46]
ADY 3 Q 29 registre des décès
[47]
ADY 3 Q 29 registre des décès
[48]
ADY 3 Q 29 registre des décès
[49]
ADY 3 Q 29 registre des décès
[50]
ADY 3 Q 29 registre des décès
La maladie du vih au cours des 3 dernières années et des douleurs difficiles à manger et la toux sont des cauchemars, en particulier la première année. À ce stade, le système immunitaire est sévèrement affaibli et le risque de contracter des infections opportunistes est beaucoup plus grand. Cependant, tous les séropositifs ne développeront pas le sida. J'ai commencé à prendre des antirétroviraux pour éviter une mort prématurée, mais je croyais en Dieu qui me guérirait un jour. En tant que brevet pour le VIH, nous vous conseillons de prendre des traitements antirétroviraux pour réduire nos chances de transmission du virus à d'autres personnes, il y a quelques semaines, je suis allé à la recherche sur Internet si je pouvais obtenir des informations sur le traitement du VIH par la phytothérapie. Sur ma recherche, j'ai vu le témoignage d'une personne qui avait été guérie du VIH et qui s'appelait Achima Abelard. et un autre brevet concernant le virus de l'herpès, Tasha Moore, qui a également témoigné au sujet de ce même homme, appelé le Dr Itua Herbal Center. J'ai été ému par le témoignage et je l'ai contacté par son adresse Email.drituaherbalcenter@gmail.com OU info@drituaherbalcenter.com. Nous avons bavardé et il m'a envoyé une bouteille de médicament à base de plantes. Je l'ai bu comme il me l'avait demandé. Après l'avoir bu, il me demande de passer un test pour savoir comment j'ai mis fin à ma vie de souffrance du brevet relatif au VIH, je suis guéri et exempt d'arv. Je lui suis toujours reconnaissant Drituaherbalcenter.Voici son numéro de contact: +2348149277967 ... Il m'assure qu'il peut guérir la maladie suivante..Vers, Cancer, Herpès Virus, Hpv, Pile, Erection faible, Maladie de Lyme, Epilepsie, , Cancer de la vessie, Cancer colorectal, Cancer du sein, Cancer du rein, Leucémie, Cancer du poumon, Lymphome non hodgkinien, Cancer de la peau, Lupus, Cancer de l’utérus, Cancer de la prostate, Fibromyalgie, SLA, Hépatite, Dysme de Parkinson, Maladie de Parkinson, Maladie génétique, Fibrodysplasie, Fibrodysplasie ossifiante progressive, syndrome de toxicité de la fluoroquinolone, accident vasculaire cérébral, HPV, érection faible, inflammation du foie et des reins, stérilité masculine / féminine, maladie de l'intestin, maladie de Huntington, diabète, ...
RépondreSupprimerMon nom est aspirateur, ma fille de 18 ans, Tricia a été diagnostiquée d'herpès il y a 3 ans. depuis lors, nous allons d'un hôpital à l'autre. Nous avons essayé toutes sortes de pilules, mais tous les efforts pour se débarrasser du virus étaient vains. Les cloques ont réapparu après quelques mois. Ma fille utilisait des comprimés d'acyclovir 200 mg. 2 comprimés toutes les 6 heures et crème de fusitine 15 grammes. et H5 POT. Le permanganate avec de l'eau doit être appliqué 2 fois par jour mais tous ne montrent toujours aucun résultat. J'étais donc sur Internet il y a quelques mois, à la recherche de tout autre moyen de sauver mon enfant unique. à ce moment-là, je suis tombé sur un commentaire sur le traitement à base de plantes dr imoloa et j'ai décidé de l'essayer. Je l'ai contacté et il a préparé des herbes et me les a envoyées avec des directives sur la façon d'utiliser les herbes via le service de messagerie DHL. ma fille l'a utilisé comme dr imoloa dirigé et en moins de 14 jours, ma fille a retrouvé sa santé .. Vous devriez contacter le Dr imoloa aujourd'hui directement sur son adresse e-mail pour tout type de problème de santé; lupus, ulcère de la bouche, cancer de la bouche, douleurs corporelles, fièvre, hépatite ABC, syphilis, diarrhée, VIH / sida, maladie de Huntington, acné au dos, insuffisance rénale chronique, maladie addison, douleur chronique, maladie de Crohn, fibrose kystique, fibromyalgie, inflammatoire Maladie intestinale, mycose des ongles, maladie de Lyme, maladie de Celia, lymphome, dépression majeure, mélanome malin, manie, mélorhéostose, maladie de Ménière, mucopolysaccharidose, sclérose en plaques, dystrophie musculaire, polyarthrite rhumatoïde, maladie d'Alzheimer, maladie de Parkison, cancer vaginal, épilepsie Troubles anxieux, maladies auto-immunes, maux de dos, entorse dorsale, trouble bipolaire, tumeur cérébrale, maligne, bruxisme, boulimie, maladie du disque cervical, maladies cardiovasculaires, néoplasmes, maladies respiratoires chroniques, troubles mentaux et comportementaux, fibrose kystique, hypertension, diabète, asthme , Médiateur auto-immun inflammatoire arthrite. maladie rénale chronique, maladie articulaire inflammatoire, impuissance, spectre d'alcool féta, trouble dysthymique, eczéma, tuberculose, syndrome de fatigue chronique, constipation, maladie inflammatoire de l'intestin. et beaucoup plus; contactez-le sur email- drimolaherbalmademedicine@gmail.com./ également sur whatssap- + 2347081986098.
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